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    Une super greffe pour le manioc

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    Authors
    Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation
    Date
    1992
    Language
    fr
    Type
    News Item
    Accessibility
    Limited Access
    Metadata
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    Citation
    CTA. 1992. Une super greffe pour le manioc. Spore 37. CTA, Wageningen, The Netherlands.
    Permanent link to cite or share this item: http://hdl.handle.net/10568/60068
    Abstract/Description
    Multiplier par dix la production d'un pied de manioc sans engrais chimiques ni boutures sélectionnées, c'est possible grâce à une technique de greffage inventée en 1952 par un paysan javanais du nom de Mukibat et testée actuellement au...
    Notes
    Multiplier par dix la production d'un pied de manioc sans engrais chimiques ni boutures sélectionnées, c'est possible grâce à une technique de greffage inventée en 1952 par un paysan javanais du nom de Mukibat et testée actuellement au Congo. Il s'agit d'une greffe entre le manioc alimentaire Manihot esculenta et un manioc arborescent surnommé couramment 'manioc à caoutchouc' (Manihot glazovii). Ce dernier est un petit arbre qui ne produit pas de racines comestibles. En Indonésie, on le plante essentiellement pour ombrage et l'ornement mais dans certains pays d'Afrique, on consomme ses feuilles(saka saka au Congo). La technique de Mukibat consiste à greffer le manioc arborescent sur du manioc alimentaire et non l'inverse. Avec cette méthode, c'est curieusement la production de racines du porte greffe qui est améliorée et non un quelconque rendement du côté du greffon, sur la partie aérienne de la plante. Pour tirer le meilleur parti de cette technique, il faut planter le manioc greffé dans un trou d'environ un mètre cube, rempli de déchets de cuisine, de feuilles et de troncs de bananiers. Ce terrain, à la fois riche en matière organique et suffisamment meuble, permet aux racines de se développer au maximum. Bien entretenu, un seul pied de manioc greffé façon Mukibat peut produire jusqu'à 100 kg de racines, au lieu de dix pour un pied ordinaire. Au Congo, où elle a été expérimentée par la société Agri Congo, cette technique est doublement intéressante. Outre la production de racines, elle permet d'obtenir une bonne récolte de feuilles, dont les consommateurs locaux raffolent. Autre avantage, les plants greffés sont résistants à la bactériose, une maladie qui décime régulièrement les maniocs africains. José Brochier Agri Congo BP 14574 Brazzaville CONGO
    Subjects
    AGRICULTURE EN GÉNÉRAL;
    Collections
    • CTA Spore (French) [4636]

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