CGSpaceA Repository of Agricultural Research Outputs
    View Item 
    •   CGSpace Home
    • Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation (CTA)
    • CTA Technical Publications
    • View Item
       
    • CGSpace Home
    • Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation (CTA)
    • CTA Technical Publications
    • View Item
    JavaScript is disabled for your browser. Some features of this site may not work without it.

    Situation et gestion extensive intégrée des mouches des fruits

    Thumbnail
    View/Open
    situation_mouche_fruit_Mbaye_28-11 au 05-12-06.pdf (164.3Kb)
    
    Authors
    Ndiaye, Mbaye
    Date
    2006
    Language
    fr
    Type
    Report
    Accessibility
    Open Access
    Metadata
    Show full item record
    Share
    Citation
    NDIAYE, Mbaye. 2006. Situation et gestion extensive intégrée des mouches des fruits. CTA, Wageningen, The Netherlands
    Permanent link to cite or share this item: https://hdl.handle.net/10568/64513
    Abstract/Description
    En raison des lacunes existantes sur le cycle de vie des insectes pour meilleures intégrations de certains aspects de la lutte intégrée, une approche générale et rentable sera envisagée...
    Notes
    Note introductive Dans le continent Africain, un inventaire exhaustif faunistique et floristique est rare ou même quasi inexistant et n’a lieu que lorsqu’une situation devient subitement préoccupante. C’est exactement ce qui est arrivé avec les mouches des fruits. A l’exception de tentatives timorées concernant des aspects particuliers par rapport à une situation aussi particulière comme la mouche méditerranéenne des fruits et la mouche des cucurbitacea, il est presque impossible de trouver un recensement complet des téphrites indigènes, de leurs plantes hôtes et des niveaux de dégâts associés. Dans la plupart des cas en Afrique, chaque nouvelle introduction (cochenille farineuse du manioc, cochenille farineuse du manguier, la mouche blanche spiralée, le biotype B de bémisia, l’acarien vert du manioc, Salvinia etc.) ne peut se ressentir que lorsque la côte d’alerte est dépassée. Pour qui connaît le processus d’une introduction accidentelle d’une espèce exotique, la période de présence est de loin bien antérieure à celle de la signalisation. Partout où un inventaire a été fait, il est sorti la domination de l’effectif de C. cosyra par rapport aux autres espèces du genre. Aussi, la première signalisation de Bactrocera invadens, a eu lieu en 2003 au Kenya et la circulaire d’information de Conseil Phytosanitaire Africain ne daterait que de Mars 2005. Actuellement, B. invadens semble être rapporté un peu partout à travers le continent Africain et de surcroît a fait naître un intérêt particulier pour les taxonomistes, les services de protection des végétaux, les producteurs et les décideurs politiques tant au plan national qu’international. Il aurait été plus facile de recommander d’utiliser des pesticides pour leurs larges spectres d’action et les résultats spectaculaires dans le cadre d’un vaste programme de pulvérisation. Mais pour quatre raisons essentielles cette démarche n’est pas envisageable : (i) les effets secondaires sur l’homme, les animaux, les auxiliaires de l’agricultures et l’environnement, (ii) certains aspects biologiques de l’insecte, les formes sessiles des mouches sont dans le sol ou dans les fruits, (iii) les risques d’assister à une recrudescence des cochenilles farineuses du manioc et des manguiers qui sont actuellement sous contrôle biologique depuis respectivement en 1990 et 1995 et (iv) l’apparition éventuelle d’ennemis secondaires des cultures. La plupart des chercheurs évaluent à moins de 0,3% les quantité de pesticides pulvérisée qui atteignent leur cibles (ravageurs), ce qui veut dire que 99,7% des substances déversées s’en vont « ailleurs ». Cependant, il ne s’agit pas d’abandonner les pesticides mais de tirer le maximum de bénéfice et le minimum de risques de leur utilisation travers des mesures curatives raisonnables. La technique d’utilisation des males stériles d’insectes face à l’urgence de la situation n’est pas aussi recommandable en raison de ses nombreux préalables de connaissances fondamentales et de développement qui peuvent durer plusieurs années (5 ans peut être un minimum). Aussi faut-il disposer d’infrastructures adéquates et des hommes qualifiés à la hauteur des tâches. Les facilités nécessitent un certain investissement sans compter le matériel de roulement, et de lâchers. Mais au rythme où B. invadens et C. cosyra évoluent et la misère que ces espèces peuvent entraîner, une forte mobilisation de la Communauté Internationale est nécessaire pour les contenir en Afrique et dégager les moyens de leur éradication. Aussi bien pour B. invadens que pour C. cosyra, il faut développer un programme de recherche et de développement dans le sens de pouvoir : - monter un d'élevage de masse - Développer un type d’aliment et un régime alimentaire à bon marché avec de préférence du matériel local pour sa disponibilité - développer une méthode de contrôle de qualité par rapport aux émergences, aux aptitudes de vol, à la longévité, à la compatibilité sexuelle, à la compétitivité - des doses optimales d'irradiation - déterminer une méthodes de lâchers pour chaque types de cible (vergers et les arrière-cours, forêt et secteurs inaccessibles) - déterminer un taux de lâcher en fonction des densités de population (ratio d’inondation de 10:1) Note de l'auteur
    Subjects
    PRODUCTION ET PROTECTION VÉGÉTALE;
    Regions
    WEST AFRICA; AFRICA
    Collections
    • CTA Technical Publications [428]

    AboutPrivacy PolicySend Feedback
     

    My Account

    LoginRegister

    Browse

    All of CGSpaceCommunities & CollectionsBy Issue DateAuthorsTitlesBy AGROVOC keywordBy ILRI subjectBy CPWF subjectBy CCAFS subjectBy CIFOR subjectBy IWMI subjectBy RegionBy CountryBy SubregionBy CRP subjectBy River basinBy Output typeBy CTA subjectBy WLE subjectBy Bioversity subjectBy CIAT subjectBy CIP subjectBy animal breedBy CGIAR System subjectThis CollectionBy Issue DateAuthorsTitlesBy AGROVOC keywordBy ILRI subjectBy CPWF subjectBy CCAFS subjectBy CIFOR subjectBy IWMI subjectBy RegionBy CountryBy SubregionBy CRP subjectBy River basinBy Output typeBy CTA subjectBy WLE subjectBy Bioversity subjectBy CIAT subjectBy CIP subjectBy animal breedBy CGIAR System subject

    Statistics

    Most Popular ItemsStatistics by CountryMost Popular Authors

    AboutPrivacy PolicySend Feedback