Une bourse virtuelle du café

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99664en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number91en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-26T12:10:25Zen
dc.date.available2015-03-26T12:10:25Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/62549
dc.titleUne bourse virtuelle du caféfr
dcterms.abstractLe commerce électronique est en pleine expansion, bien qu’accusant un certain retard par rapport au commerce traditionnel. Que se passerait-il si les partenaires commerciaux décidaient de changer de cap et de reproduire en ligne les méthodes de...en
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 2001. Une bourse virtuelle du café. Spore 91. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionLe commerce électronique est en pleine expansion, bien qu’accusant un certain retard par rapport au commerce traditionnel. Que se passerait-il si les partenaires commerciaux décidaient de changer de cap et de reproduire en ligne les méthodes de trading classiques ? Certains ont déjà eu cette idée. La bourse, ouverte en juin 2000, eGreenCoffee (egreencoffe.com) réunit les torréfacteurs Jobin et Lavazza, la Société générale de surveillance, les banques ABN-AMRO et Sucden. La bourse compte 200 membres, qui gèrent 60 % du volume de café consommé dans le monde. L’InterCommercial Markets Corp (www.intercommercial.com), créée à la fin de l’année 2000, a une vocation analogue. Cette société est liée à la chambre de commerce de New York, à l’entreprise suisse Volcafe et aux sociétés Folgers et Millstone, filiales de la multinationale Procter & Gamble, basée aux États-Unis. L’objectif de ces initiatives, et de bien d’autres encore, est de réduire le morcellement du marché du café, très étendu géographiquement, et de limiter les frais liés à la multiplicité des intermédiaires. La réunion virtuelle des producteurs de café, des torréfacteurs, des organismes de certification, des assureurs et des financiers permettra de rationaliser le commerce du café. L’association des pays producteurs de café reconnaît volontiers que le commerce électronique peut réduire les coûts intermédiaires. Mais elle souligne que le volume des transactions est encore limité (les offres d’achat et de vente ne concernent pour l’instant que 200 000 tonnes de café) et que l’impact sur les cours reste, de ce fait, minime. À long terme, le commerce en ligne reliera directement les torréfacteurs et les producteurs et facilitera la tâche des agriculteurs, si ceux-ci se décident à prendre ce virage technologique.en
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued2001
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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